Le Marais Poitevin, mon parc naturel d’attractions
Nouvelle signature et nouvelles vidéos pour le Parc Naturel Régional du Marais Poitevin.
A 30 minutes des gîtes La Bréjolière, le Marais Poitevin vous attend, avec de nombreuses activités pour toute la famille : promenades en barque ou en canoë, randonnées en vélo, pêche, visite de parcs animaliers…
Oscar pour Le Puy du Fou
Oscar de la Meilleure Création Mondiale à Los Angeles
Samedi 2 avril, le Puy du Fou a reçu l’Oscar de la Meilleure Création au Monde pour « Les Amoureux de Verdun », à l’occasion de la cérémonie de « Thea Awards 2016 » à Los Angeles.
Considérés comme les « Oscars » de l’industrie du divertissement mondial, les Thea Awards célèbrent depuis près de 20 ans l’excellence dans la création de lieux de divertissement, d’expériences pour les visiteurs et récompensent les réussites majeures qui ont marqué l’univers de l’Entertainment à travers le monde.
Themed Entertainment Association (TEA), représentant plus de 700 parcs et spectacles dans une quarantaine de pays, a choisi de récompenser le Puy du Fou pour l’excellence technique et artistique des « Amoureux de Verdun ». Cette création hors-norme, inaugurée en 2015, met en scène la Grande Guerre de manière spectaculaire, émouvante et immersive à travers l’échange épistolaire d’un Poilu avec sa fiancée en pleine trêve de Noël 1916.
Ce prix confirme l’envergure internationale du Puy du Fou après avoir été élu à deux reprises Meilleur Parc au Monde avec le Thea Classic Award en 2012 et l’Applause Award en 2014.
Au moment du lancement de sa saison 2016, le Puy du Fou est fier de faire rayonner l’excellence artistique française dans le monde en continuant à innover et inventer pour émerveiller et émouvoir les visiteurs du monde entier.
Décoration : Interview dans Racines
Interview décoration
Nous avons eu le plaisir de recevoir la visite de Marie Jousseaume du magazine Racines, Vivre entre Sèvre et Loire, pour un interview sur la décoration aux Gîtes La Bréjolière.
Il s’en suit l’article ci-dessous, à lire sur notre blog ou directement sur le site du magazine Racines.
Tuyaux déco : faites comme aux gîtes de la Brejolière !

C’est naturellement que Stéphanie Platteau a choisi un style traditionnel pour ses gîtes : vieilles pierres, cheminée à foyer ouvert, poutres apparentes, murs en chaux… mais aussi Spa intérieur et écran plasma. Un mélange de charme rustique et de confort, dans les anciennes dépendances d’un logis du XVIIIème siècle. Stéphanie Platteau nous dévoile quelques astuces déco.
Propos recueillis par Marie Jousseaume
Chiner et faire à la main
Quel est votre style de décoration pour ces deux gîtes ?
J’ai opté pour un style maison de charme. Le gîte conçu pour 12 personnes comprend une pièce de vie, un étage avec mezzanine, plusieurs chambres et salles de bains. On voulait que ce soit intemporel, alors c’est très sobre au niveau des couleurs, assez basique : blanc, blanc cassé, beige, gris clair, des couleurs qui passent partout. Et puis la déco s’est vraiment faite au fur et à mesure. Dans la chambre du fond, par exemple, c’est parti d’un abat-jour qu’on m’a donné, qui était violet. Et puis on a travaillé autour de cette couleur, avec de dessus-de-lit, des coussins, de petits objets dans les mêmes tons. Ça donne différents camaïeux de couleurs dans les pièces. Attention, ce n’est pas né du jour au lendemain ! C’est plutôt « tiens, on peut ajouter ça… ».
Quel a été le point de départ de votre décoration ?
On est parti des quatre murs et du toit, quand on a commencé les travaux ! Nous avons restauré dans l’authenticité, puisque nous sommes dans un lieu typique, au calme. On ne voulait pas dénaturer cet aspect. Et puis nous avons beaucoup chiné dans des vide-greniers et les brocantes, pour ensuite retoucher, relooker.
Vous avez beaucoup chiné… Quel genre d’objets attire votre attention ?
Il y a un petit porte-revues… (elle fait une pause et regarde autour) cette boîte à clefs trouvée dans une brocante et que j’ai repeinte, la grille et les accessoires de la cheminée… Nous avons également conservé les meubles un peu plus anciens qui viennent de la famille. Le déménagement de ma mère coïncidait avec l’aménagement du gîte, et elle nous a fait don de quelques meubles, comme celui-ci (un buffet dans la pièce de vie). Ce sont des meubles que je ne trouvais pas spécialement jolis quand ils étaient chez elle, mais installés ici, contre un vieux mur en pierre, dans un cadre authentique et ancien, ça leur rend toute leur valeur.
« Les clients veulent se sentir comme chez eux,
mais en mieux”.
Le petit conseil pour bien réussir sa déco ?
Prendre le temps, fouiner à droite et à gauche, et puis mettre une touche personnelle, essayer d’assortir… ou pas d’ailleurs ! Dans l’ensemble, c’est donner un style qui s’harmonise au lieu. Les clients veulent se sentir comme chez eux, mais en mieux. Avec pas grand-chose on arrive à donner une touche personnelle à l’hébergement. Il ne faut pas que ce soit trop envahissant non plus, chacun doit pouvoir s’y retrouver. Quand on reçoit des enfants en bas âge, il ne faut pas non plus qu’il y ait de super rideaux en dentelle, par exemple ! Mais il n’y a pas besoin de grand-chose pour donner un charme, en s’appuyant sur ce qui existe. Par exemple il y a l’œil-de-bœuf, rehaussé avec un petit bouquet… ce sont des choses simples.
Alors, la déco, c’est très important ?
Ah oui ! Clairement, les gens font attention à tous ces détails. Ce sont de petites attentions mais au final les clients les remarquent. Et pas forcément ceux auxquels on s’attend ! Il y a beaucoup d’hommes qui me font la remarque : « ah, vous avez brodé vos draps ! » ça touche un public qui n’est pas forcément que féminin !
Nous avons d’abord pensé notre déco en fonction des besoins. C’est de la déco utile. On a finalement ici beaucoup de choses qui servent dans la vie de tous les jours. Par exemple, un porte-revues, c’était nécessaire, étant donné qu’on met des magazines à disposition.
Le renouvellement de la déco, pour vous, c’est une nécessité ? Oui. Il ne faut pas que lorsque des clients reviennent quatre ans après, rien n’ait changé. C’est important de renouveler sa décoration, mais cela peut-être par touches : ce sont de petites choses qui viennent s’ajouter, du confort en plus. Il y a aussi les suggestions des clients qui comptent.
Et côté budget, combien cela vous a-t-il coûté ?
Je pense que pour aboutir à quelque chose de correct, il faut prendre le temps. Ou alors il faut avoir un budget conséquent !
De notre côté, c’est difficile de chiffrer comme ce sont quelques euros dans une brocante par-ci, par-là… peut-être aux alentours de 400€. (ndlr : les deux gîtes couvrent respectivement 225m² et 100m². De la surface à décorer ! )
Quelles seraient vos bonnes adresses déco ?
Les vides-greniers, c’est là où l’on fait les plus belles trouvailles, en général. Emmaüs, bien sûr, parce que ce n’est pas cher, et solidaire, en plus ! Après, il y a les petits magasins de déco, comme Comptoir de famille à Nantes, mais ça, c’est vraiment propre à notre style.
Les gîtes de la Bréjolière, c’est :
- 9 mois de travaux
- Ouverture du gîte pour 12 personnes en 2011
- Ouverture du gîte pour 4 personnes en 2014
- 25 semaines de location et plus de 20 courts séjours par an
Vendée, destination gourmande
Vendée, destination gourmande
Concernant le volet communication, trois campagnes sont d’ores et déjà prévues.
La première sera organisée autour du thème : « Vendée, destination gourmande ». Pour cela, partenaires institutionnels (Sud Vendée Tourisme, Vendée Vallée, Office du tourisme des Sables-d’Olonne, Office du tourisme du Pays de St Gilles, Office du tourisme de l’ïle de Noirmoutier) chefs et producteurs se sont associés.
« Une large campagne publicitaire au cinéma permettra de diffuser un spot dans 17 salles de la région, poursuit Wilfrid Montassier. Au total, 400 000 spectateurs pourraient être touchés ».
Cette campagne autour de la gastronomie vendéenne comprendra d’autres actions (mise à disposition de photos, clips sur youtube…) dont un jeu concours intitulé « Les Dîners Toqués de Vendée ». 50 dîners concoctés par de grands chefs dans des lieux insolites sont à gagner sur le site www.vendee-tourisme.com à partir du 6 avril prochain.
Aménagements Alexandrin
Quelques petits aménagements pour plus de rangements et de confort au gîte Alexandrin.
La marque Marais Poitevin
Pour augmenter la notoriété du Marais poitevin, les acteurs touristiques de Vendée, des Deux-Sèvres et de Charente-Maritime se regroupent.
(Parc naturel régional, Agences de développement touristique, Offices de Tourisme Aunis Marais poitevin, Niort-Marais poitevin-vallée de la Sèvre niortaise et Sud Vendée Tourisme).
Séduire la clientèle étrangère
En s’appuyant sur le slogan « le Marais poitevin, mon parc naturel d’attractions », ces acteurs
proposent aux prestataires touristiques des contenus pour promouvoir la destination (photos, vidéos, carte touristique…). Un nouveau site http://www.parc-marais-poitevin.fr est également mis en ligne et fait la part belle à l’immersion (vidéos, ambiances sonores…).
Un des objectifs est notamment de séduire davantage la clientèle étrangère.
Article paru dans Journal de la Vendée, Mars 2016 / N°215
Réaménagement de l’accès au gîte Alexandrin
Les travaux de réaménagement de l’accès au gîte Alexandrin ont commencé.
Afin d’améliorer l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite, le terrain étant maintenant stabilisé (5 ans) et la couche de finition calcaire ayant vécue, nous avons rappelé la Colas, qui était déjà intervenue dans le jardin, souvenez-vous :
Nous repartons pour cet accès sur le même principe : un enrobé et une finition résine pépite avec gravillons couleur calcaire.
La préparation du support a été réalisée aujourd’hui, rendez-vous mercredi pour la suite des aventures !
Les fours à chaux de Chantonnay – TV Vendée
Les fours à chaux de Chantonnay sont au programme de Chemins de traverse, sur TV Vendée.
Découverte en 1750, la houille a été exploitée entre 1839 et 1869 près du Temple et de la Tabarière au sud de Chantonnay. De cette exploitation, il reste aujourd’hui deux terrils, le bureau de l’ancienne mine et des traces d’excavation.
La houille (le charbon) était transportée vers les fours à chaux tout proches pour servir de combustible à la cuisson du calcaire, extrait de carrières du bassin de Chantonnay. Mines et fours à chaux appartenaient à la même société.
Parmi ces fours, les Cinq Fours construits en 1848, situés à environ 1 km au nord de la mine du Temple sont bien conservés. Ils forment ainsi un ensemble sans doute unique qui fait penser à des fortifications médiévales. Les Cinq fours ferment à la fin du XIXème et 3 seulement subsistent.
Il y eut d’autres fours à Chantonnay au Pont Corne (quelques vestiges à peine visibles), à l’Eolière (plus aucune trace) .
Films documentaires sur le passé industriel et rural du Pays de Chantonnay depuis 1868, réalisés en 2001 par Luc Brusseau : ‘De la mine au four et du Four au moulin’. DVD en vente à l’Office de Tourisme.
Comment s’y rendre ? Au départ de Chantonnay, prendre direction St Philbert du Pont Charrault. Continuer jusqu’à la sortie du bourg et prendre à gauche juste avant un petit pont.
Source : Site de l’office de tourisme de Chantonnay
Le Puy du Fou rapatrie l’anneau de Jeanne d’Arc
Le 26 février, à Londres, la France a repris un peu de son patrimoine aux Anglais. L’anneau de Jeanne d’Arc a été acheté aux enchères par le Puy du Fou.
Le 26 février dernier, à Londres, la France a repris un peu de son patrimoine aux Anglais. Un anneau en laiton, relique datant du XVe siècle, présenté comme ayant appartenu à Jeanne d’Arc, a été mis en vente par la maison Timeline Auctions. Prix de départ : environ 18 000 €.
376 800 €
C’est un mystérieux français, absent physiquement, qui remporte la mise. Le bijou de la Pucelle d’Orléans est adjugé pour 376 800 €.
Quelques jours plus tard, on apprend que le Français en question est multiple. Et que l’opération a été pilotée en moins de 48 heures par la fondation du Puy du Fou, qui a activé son réseau de donateurs et collecté près de 300 000 €.
Le parc à thème prévoit de l’exposer
Le parc à thèmes vendéen, qui a construit sa réputation sur des spectacles vivants chargés d’Histoire, s’invite donc sur un terrain nouveau. « Le Puy du Fou n’a pas vocation à devenir un musée, mais s’il peut concourir à protéger des symboles de la France éternelle, il le fera, explique Nicolas de Villiers, le président du Puy du Fou. On a jugé qu’il était de notre devoir de mettre fin à l’exil de ce symbole. »
L’anneau sera présenté officiellement au public le 20 mars.
Article paru sur Ouest France, http://www.ouest-france.fr/insolite/le-puy-du-fou-rapatrie-lanneau-de-jeanne-darc-en-france-4070988